Compilation d’outils pour tout savoir d’un site Web

Pour connaître les technologies sous-jacentes employées pour créer un site Web, pour retrouver le propriétaire d’un site afin de le contacter, pour connaître le nom de l’hébergeur, pour établir la liste de tous les autres sites Web hébergés sur un même hébergement mutualisé, pour savoir si un site tourne avec le CMS WordPress ou Drupal, pour savoir quel système de monétisation est utilisé ou quelles sont les régies publicitaires d’un site, pour vérifier que la consultation d’un site Web est bloquée depuis la Chine, etc., il faut se munir d’outils spécialisés pour analyser ces différents facteurs qui en disent parfois très long sur la nature d’un site Web et/ou de son propriétaire.
Voici une liste d’outils gratuits utilisables en ligne en renseignant l’URL du site à explorer pour mener à bien une petite enquête et découvrir tout ce qu’il convient de savoir sur les détails d’un site pour peu que l’on soit curieux de voir ce que cachent ses entrailles techniques, quelles sont ses performances générales, son impact sur les réseaux sociaux…
Cette liste sera régulièrement mise à jour en fur et mesure de mes découvertes.

Just-ping.com : Cet outil est utile pour déterminer si un site Web est accessible depuis d’autres pays. Plus de 90 stations de contrôle sont réparties dans le monde y compris la Turquie, l’Égypte et la Chine. Si la réponse au ping indique une perte de paquets de l’ordre de 100 %, il est plus que probable que le site soit inaccessible depuis le point de contrôle du pays en question.
Who.is : Cet outil permet de connaître l’adresse de contact, l’adresse de messagerie et le numéro de téléphone du propriétaire d’un site Web. Les bases de données Whois sont interrogées, mais l’information est peu fiable étant donné qu’il est tout à fait possible de protéger un nom de domaine en masquant ces informations ou en donnant des informations erronées au moment de l’achat du nom de domaine. L’outil détermine également la date d’enregistrement du domaine, sa date d’expiration, la date de la dernière mise à jour, l’adresse IP du site, le nom de l’hébergeur, l’adresse des DNS…
Whoishostingthis.com : Cet outil indique le nom de l’hébergeur d’un site Web. Cela s’avère utile s’il n’est pas possible de joindre le propriétaire d’un site, en dernier recours (signalement de contenu non approprié, plagiat manifeste…) on pourra s’adresser à son hébergeur. Pour déterminer l’hébergeur, l’outil se base sur les enregistrements DNS.
Popuri.us : Un outil pour déterminer une estimation de la popularité d’un site sur les réseaux sociaux comme Twitter, Google+ et Facebook. L’outil affiche aussi le Pagerank du site et des indicateurs de confiance.
Chillingeffects.org : Ce site enregistre une copie des plaintes DMCA (Digital Millennium Copyright Act) dans sa base de données. Il s’agit d’une législation destinée à lutter contre les violations du droit d’auteur. Les moteurs de recherche proposent des formulaires dédiés pour signaler ce type de contenus. On peut retrouver qui a porté plainte contre un site ainsi que ses propres demandes de retrait.
Myip.ms : Cet outil affiche un rapport complet sur un site à partir d’un nom de domaine ou d’une adresse IP : hébergeur, localisation physique du serveur Web…
Ewhois.com : Cet outil permet de déterminer les autres sites Web du propriétaire d’un domaine en se basant sur le code Google Analytics et l’identifiant Adsense.
Buildwith.com : Avec cet outil on va déterminer les technologies utilisées par un site Web : CMS et version, Widgets, CDN (Amazon S3 ou Google Cloud), codes de tracking…
Semrush.com : Un outil  (gratuit pour les fonctions de base) pour analyser le SEO d’un site : liens, mots-clés, positionnement, trafic, concurrents…
Whatsmydns.net : Un outil pour suivre la propagation DNS d’un domaine et voir sa progression.
Modern.ie : Cet outil permet de tester la compatibilité d’un site Web avec les différents navigateurs Web.
Developers.google.com : Cet outil permet de mesurer la vitesse d’affichage d’un site pour ses versions desktop et mobile. Plus le score Page Speed obtenu est haut, plus les performances du site sont importantes. Des suggestions d’améliorations sont aussi indiquées.
Ctrl.org/sandbox : Un outil pour résoudre les problèmes rencontrés avec la régie publicitaire Adsense.
Httparchive.org : Un outil d’analyse d’un site Web pour mesurer les temps de réponse moyens, le poids des pages et des images, des fichiers CSS, des scripts JavaScript, etc.

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Via : Digital Inspiration

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Transformer un Raspberry Pi en Commodore 64

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Transformer un Raspberry Pi en Commodore 64

Scott Hutter, un nostalgique du Commodore a mis à disposition le code qui va vous permettre de transformer n’importe quel Raspberry Pi en Commodore 64. Pas un vrai évidemment, mais un émulateur plutôt sympa puisqu’il permet de connecter un écran HDMI, joue le son comme au bon vieux temps, et fait tourner les applications exactement comme à l’époque.

Scott aimerait aussi y intégrer le support d’Ethernet, du GPIO (le port d’entrées sorties dispo sur le Rpi), et autoriser l’augmentation de la RAM.

 

Si le projet vous intéresse, tout est expliqué sur ce site et vous pouvez télécharger l’image à mettre sur la carte SD ici.

Amusez-vous bien !

Source

viaTransformer un Raspberry Pi en Commodore 64 « Korben.

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Créez votre système de dropbox personnel

Créez votre système de dropbox personnel

Syncloud est une distrib basée sur Debian qui est destinée à des petits ordinateurs comme le Raspberry Pi, le Cubieboard et le Beaglebone black. Ce système embarque Owncloud (clone libre de Dropbox) et s’installe vraiment très simplement. Il suffit juste de suivre les explications présentes sur le site.

schema raspberrypi logo1 Créez votre système de dropbox personnel

Ensuite, tout se passe de manière classique avec Owncloud (et les clients Owncloud présents sur tous les OS même mobiles). L’objectif est de permettre à des personnes peu familiarisées avec Linux et la ligne de commande, d’accéder à leurs fichiers depuis n’importe où sans avoir besoin de louer un serveur, faire tourner un gros PC ou un NAS ou souscrire à un machin payant basé aux États-Unis.

A tester ! Et à coupler avec un système de DNS dynamique pour plus de souplesse.

 

Créez votre système de dropbox personnel « Korben.

Comment sauvegarder ses données en toute simplicité

N’attendez pas de voir vos données disparaître suite à une fausse manipulation, un piratage, un virus ou à une panne :
sauvegardez-les !
Pour cela, plusieurs solutions s’offrent à vous, du disque dur externe au stockage “dans les nuages”.
Suivez le guide !

Qui n’a jamais perdu, à cause d’une mauvais manipulation, d’une panne, voire d’un piratage ou d’un vol, toutes ses données ? Il suffit de quelques secondes pour que vos photos, sons, vidéos et documents divers partent en fumée. Dans ce cas là, deux solutions : soit vous les avez perdus à jamais, soit vous avez pris vos précautions, et vous les avez sauvegardés ailleurs.

Non, sauvegarder vos données (régulièrement) n’est pas une perte de temps, bien au contraire. Il y a encore peu, il vous fallait utiliser toute une armada de DVD, de CD-R, voire… de disquettes (pour les plus “anciens”). Aujourd’hui, le progrès vous permet de préserver vos fichiers d’une façon bien moins fastidieuse – simple, rapide et (relativement) économique.

Concrètement, plusieurs solutions s’offrent à vous : la copie manuelle sur support physique, les logiciels de sauvegarde automatisés, la copie des données sur un serveur (FTP, NAS), ou le stockage dans le Cloud. Suivez-donc le guide.

Sauvegarde physique

La solution la plus évidente, c’est bien sûr d’effectuer une copie de sauvegarde locale. Autrement dit, d’utiliser un disque de secours. Préférez le disque dur externe USB au disque dur interne : vous n’aurez rien à installer manuellement, aucun matériel à démonter, et vous pourrez emporter vos données avec vous, partout, à l’instar d’une clé USB.

L’achat d’un gros disque externe de plusieurs téraoctets, dans le cas d’une sauvegarde de masse (des photos, des vidéos à la pelle), peut vous revenir à plus d’une centaine d’euros. Dans le domaine des disques durs externes, c’est la foire, il en existe de toute tailles, formes, capacités… et à tous les prix. A moins de tomber sur une série vraiment défaillante le solution se valent en terme d’efficacité et de robustesse. Elle se distingueront sur la rapidité en fonction de la technologie choisie (USB 2.0, USB 3.0, Thunderbolt…). A noter que la plupart des disques externes proposent des solutions d’archivage avancé, et des logiciels de chiffrage des données.

Bien entendu, le problème auquel vous risquez d’être confronté est le suivant : si vous faites une sauvegarde le 1er avril, que vous laissez le temps filer et que vous perdez vos données trois mois plus tard, vous ne récupérerez pas l’ensemble de vos données via votre disque externe. D’où l’utilité, la très grande utilité, des logiciels de sauvegarde, dits logiciels de synchronisation, ou de backup automatisé.

Il s’agit tout simplement d’un logiciel qui copiera toutes vos données de façon régulière (toutes les semaines, tous les deux jours, tous les jours, au choix), et cela de façon automatique, depuis votre ordinateur jusqu’à votre disque externe. Il en existe une vaste gamme, mais si choix vous devez faire, préférez Cobian Backup et SyncBack pour les gratuits, ou SmartSync Pro pour les payants.

Seuls inconvénients à la solution de la sauvegarde physique : vous restez limité par la taille du disque dur, et si la machine grille, bye bye les données.

En réseau

Vous pouvez très vite vous retrouver à utiliser plusieurs disques durs, plusieurs supports physiques, plusieurs appareils, et là, c’est le désordre. Une autre solution s’offre à vous, qui vous permettra de stocker vos données, tout en les rendant accessibles à plusieurs machines : le réseau.

Pour copier vos données sur un serveur distant, deux choix : soit vous montez votre propre serveur FTP sur une seconde machine, mais cela s’avérera vite complexe, soit, bien plus simple d’utilisation, vous achetez un NAS (ou Network Attached Storage).

Il s’agit d’une unité de disques en réseau, c’est-à-dire un boîtier de stockage permettant de partager (et de gérer) des fichiers sur un serveur accueillant plusieurs disques durs. Comme pour les disques externes, les prix des NAS varient selon leur capacité de stockage (le nombre de disques durs pouvant être insérés) et leurs fonctionnalités, mais en moyenne, comptez entre 150 et 300 euros.

Parmi ces fonctionnalités, vous pourrez sauvegarder automatiquement des données, mais aussi planifier des téléchargements, monter un “Cloud privé”, ou même créer un jukebox multimédia, dont les contenus seront accessibles via votre télévision, par exemple.

Une solution pratique, donc, si vous désirez partager des données entre plusieurs ordinateurs. Seul inconvénient : vous stockerez vos données dans un seul endroit – avec les risques de panne que cela implique.

A noter que certains constructeurs propose des solutions de types NAS mais en version simplifiée afin d’en facilité l’installation et l’usage. Elles n’ont pas toutes les fonctionnalités avancées mais sont amplement suffisantes pour assurer la sauvegarde de données. C’est le cas du Western Digital My Cloud ou de l’écosystème Pogoplug

Dans les nuages

Reste enfin la solution la plus simple : stocker vos données dans le Cloud. Il existe une pléthore de services, gratuits dans leur version “de base”, payants dans leur version avancée (avec de plus grandes capacités de stockage). Les plus connus : Box, DropBox, OneDrive, Google Drive, iCloud, Unikube

Avantages du Cloud : vos données sauvegardées peuvent être synchronisées en permanence. L’utilisation de ces services a été simplifiée au maximum ; et vous pouvez aussi partager vos fichiers avec d’autres personnes, où qu’elles se trouvent, via un simple lien.

Les prix varient, donc, selon la capacité de stockage : gratuits, vous pouvez stocker jusqu’à 20 ou 30 Go en moyenne. Au delà, il faudra opter pour une offre payante, allant de 20 à plusieurs centaines d’euros par an, pour un espace allant de 50 à 500 Go.

Reste la question de la confiance envers le service utilisé. Il existe des solutions Cloud moins connues, mais tout aussi efficaces, open source ou n’étant pas aux mains de ces “Géants du Web” américains soumis au Patriot Act, qui font régulièrement parler d’eux en terme de fuites de données et de violation de la vie privée : SparkleShare, SpiderOak, Wuala, ou encore le français Hubic, d’OVH.

Voilà, vous êtes désormais parés pour ne plus jamais perdre de données. Ou presque : il ne suffit pas, en effet, d’opter pour telle ou telle solution, et de se laver ensuite les mains. Certes, vous sauvegarderez vos données, mais le risque subsistera si vous les sauvegardez dans un seul endroit. D’où ce dernier conseil, de bon sens : multipliez les outils, faites des sauvegardes régulières, et pas dans un seul endroit uniquement. Vous êtes prévenus.

Fabien Soyez (Cnet France)

 

 

Comment sauvegarder ses données en toute simplicité.

Un éditeur photo dans Facebook, Photon

Je dois bien reconnaître que je ne suis pas un grand fan de Facebook. Je ne l’ai d’ailleurs jamais été, l’incompréhension entre le réseau social et moi a été immédiat. À vrai dire je ne m’y connecte absolument jamais si ce n’est pour de temps à autre regarder une nouvelle fonctionnalité, vérifier un paramètre de sécurité qui pour la énième fois vient de changer ou constater une fois de plus que l’interface est brouillonne. Pour certains c’est un outil utilisé au quotidien. J’avoue que j’ai un peu de mal à comprendre comment un simple album photo a pu prendre une part si importante dans la vie de certaines personnes.
Donc uniquement, pour les nombreux amateurs du réseau social, l’extension Photon pour le navigateur Chrome ajoute les fonctionnalités d’un éditeur photo directement dans l’interface de Facebook.
On y accède en cliquant sur n’importe quelle photo publiée sur Facebook. Les icônes de l’outil sont affichées en haut à gauche sur la photo. La première icône Close Photon permet de sortir du mode édition, l’icône Download permet de télécharger la photo dans son format original, Share permet de la partager et Edit de passer en mode édition.
À partir du mode édition, on dispose d’une palette d’outils disposée en haut de la photo pour d’une part la modifier, l’améliorer et d’autre part lui appliquer des filtres à la sauce Instagram.
Les outils sont les suivants ; une loupe est accessible depuis la fenêtre principale, les modifications sont annulables, on sauvegarde une image modifiée en cliquant sur le bouton Save.

facebook-photon

  • Enhance : amélioration de la photo et correction automatique des couleurs
  • Effects : accès aux filtres de couleurs
  • Frames : ajout de cadres
  • Stickers : ajout d’objets divers et variés sur une photo
  • Crop : recadrage de la photo avec un choix de nombreux gabarits (carré, 4:3, 16:9, taille à définir…)
  • Resize : pour redimensionner la photo à la taille voulue
  • Orientation : rotation de la photo et effet miroir
  • Focus : éclairage d’une zone de taille variable sur la photo. La forme de la zone est carrée ou circulaire ; les autres parties de la photo restent floues.
  • Brightness : éclairage
  • Contrast : contraste
  • Saturation : saturation des couleurs
  • Warmth, Sharpness, Splash : correction et modification des couleurs
  • Draw : outil pour dessiner sur la photo
  • Text : outil pour ajouter du texte sur la photo
  • Redeye : outil pour supprimer les yeux rouges d’une photo
  • Whiten : outil de blanchissement des dents
  • Blemish : outil pour gommer les défauts sur une photo

Même pour quelqu’un comme moi qui n’apprécie pas Facebook, je dois bien reconnaître que Photon est un éditeur photo de tout premier plan qui devrait rendre bien des services aux aficionados du réseau social. L’application a été développée par Aviary qui propose d’autres outils graphiques pour Android et Apple sur son site Web.

Source : Photon

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Un outil pour vérifier les liens d’un site Web, Xenu’s Link Sleuth

Un des aspects les moins agréables de ma vie de blogueur ou jour après jour je présente des outils et des sites Web c’est d’en voir disparaître certains brutalement seulement après quelques mois d’activité. Une absence de modèle économique (la gratuité c’est bien, mais sur le long terme ça ne tient pas la route, car il faut bien vivre de son travail), des coûts de fonctionnement trop élevés, la lassitude du développeur, un succès qui ne vient pas… les causes de l’arrêt d’une activité sont multiples. Mise à part la gêne occasionnée, cela engendre sur ce blog (et sur bien d’autres) des liens vers des pages Web qui pointent vers du vide, ce qui à mon avis décrédibilise l’ensemble d’un blog si cette situation se répète un peu trop souvent. Pour supprimer les liens morts de ce site, j’utilise le plug-in WordPress Broken Link Checker qui me donne toute satisfaction, car chaque jour il moissonne des liens morts dans mes billets et dans les commentaires qui ne sont pas épargnés non plus par ce phénomène. Le principal reproche que je fais à Broken Link Checker c’est qu’il consomme des ressources de mon serveur et qu’il n’est pas très rapide pour faire l’analyse des liens étant donné qu’elle ne se fait que lorsqu’un certain seuil d’activité minimum le permet.
Avec l’utilitaire gratuit pour Windows Xenu’s Link Sleuth, on fonctionne de toute autre façon puisque l’outil va analyser tous les liens (internes et externes) d’un site Web quelconque (ou d’un fichier HTML) en une seule passe pour signaler ceux qui ne répondent plus en indiquant la cause de l’erreur : timeout, hôte non trouvé, page non trouvée… ; les URLs redirigées sont indiquées.

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Pour vérifier les quelque 55 000 liens accumulés sur ce blog, leur examen a pris près de 4 heures. Les liens signalés morts une première fois peuvent être vérifiés à nouveau pour s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un problème réseau temporaire. Une fois que l’analyse est terminée, un rapport ordonné s’affiche, un fichier Google Sitemap peut être généré et le rapport peut se sauvegarder ou s’exporter sous différents formats (HTML, CSV). Depuis l’interface de l’utilitaire, on a la possibilité d’effectuer des recherches, de n’afficher que les liens morts, de trier les colonnes, etc. L’interface est très austère, le programme n’est pas tout nouveau (la dernière version date de septembre 2010), mais il fonctionne très bien en faisant pour quoi il a été conçu. Le programme est en anglais, mais un guide d’utilisation en français est disponible depuis le site du développeur.

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Xenu’s Link Sleuth est particulièrement adapté aux gros sites comportant des dizaines de milliers de liens. Pour des sites plus modestes, il est tout à fait envisageable d’effectuer cette analyse depuis un outil en ligne comme Online Broken Link Checker ou W3C Link Checker.

Source : Xenu’s Link Sleuth

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Lutter efficacement contre le Spam, SpamGourmet

Dès que l’on donne son adresse mail sur un site Web pour s’inscrire à une newsletter ou pour se servir d’une application en ligne, on alimente la machine à spams qui va se retourner rapidement contre le possesseur de l’adresse de messagerie si généreusement offerte, mais revendue à prix d’or par tous les margoulins qui sévissent dans le marketing. Pour éviter d’être la proie de ces nuisibles, une solution radicale consiste à fournir une adresse mail bidon temporaire quand on doit absolument en donner une pour pouvoir bénéficier d’un service ; par exemple en passant par le site 10 minute mail ou tout autre site du même genre permettant d’obtenir une adresse mail poubelle en quelques secondes.
Une solution beaucoup plus avancée est de passer par l’excellent SpamGourmet qui repose sur un principe de fonctionnement différent. En effet à partir d’un compte utilisateur associé à une adresse mail bien réelle à protéger, on obtient d’une part un pseudo et d’autre part une adresse mail de type pseudo@spamgourmet.com. À partir de cette dernière, on dispose alors d’une infinité de mails de type xxx.pseudo@spamgourmet.com ou les caractères xxx peuvent être remplacés par n’importe quoi d’autre : nom, mot, caractères… Il suffit alors de communiquer ce type adresse mail pour s’inscrire sur n’importe quel service qui en demande une, SpamGoumet fera automatiquement la redirection vers l’adresse mail réelle.
Comme on dispose virtuellement d’une infinité d’adresses mail jetables, il devient facile grâce aux caractères xxx de les identifier très précisément afin de savoir qui pratique la revente d’adresses mail, par exemple viadeo.xxx@spamgourmet.com pour s’inscrire sur Viadeo (au hasard), usine à spams redoutable s’il en est… Pour chaque inscription demandant une adresse mail, à chaque fois que nécessaire, en ajoutant simplement un mot (quelconque ou bien choisi, par exemple le nom du fournisseur ou du site Web) devant son adresse mail SpamGourmet, on sait toujours à qui on l’a donné.

spamgourmet

Voilà pour le fonctionnement général de SpamGourmet qui dans sa version de base (no-brainer-mode) ne nécessite pas de revenir sur le site une fois qu’un compte a été crée et qu’on dispose de son adresse mail en @spamgourmet.com. Il faut savoir aussi que les mails jetables créés sont temporaires, utilisables un certain nombre de fois indiqué par un compteur sur l’adresse mail jetable qui est donc auto destructible ; par exemple le mail viadeo.10.xxx@spamgourmet.com ne pourra être utilisé que 10 fois avant d’être automatiquement supprimé. Il est bien sûr possible de répondre à un mail quelconque en donnant comme adresse d’expédition celle qui a été choisie sur SpamGourmet.
Les adresses mail déjà créées pour son pseudo sont centralisées sur la console de gestion de son compte sur SpamGourmet (advanced mode). Le service n’est pas récent puisqu’il existe depuis plus de 10 ans. L’interface utilisateur est vieillotte, semble confuse, mais le service 100 % gratuit fonctionne à la perfection, ce qui est le principal. L’interface est disponible en français, mais la qualité de la traduction n’est vraiment pas satisfaisante, je vous conseille donc de basculer sur un affichage en anglais pour bien comprendre toutes les subtilités de SpamGourmet en lisant sa FAQ très complète.
Pour celles et ceux qui sont à la recherche d’un service du même genre en plus moderne, je leur propose de s’inscrire sur CloseToShop afin d’obtenir une invitation pour tester une application très prometteuse de lutte contre le spam. J’y reviendrai quand le service sera ouvert au public, mais d’après mes premiers tests, c’est une solution anti spam très prometteuse.

Source : SpamGourmet

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Firefox Remplir les formulaires en quelques clics

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais la simple vue d’un formulaire me fait souvent abandonner l’inscription à un site web. C’est long, répétitif, et je ne supporte pas qu’on me demande mon nom, mon prénom, mon adresse mail ou encore mon adresse postale pour pouvoir utiliser un service qui la plupart du temps n’en aura jamais besoin si ce n’est pour me spammer.

Donc aujourd’hui, je vous propose une petite extension qui ne va pas vous éviter de donner vos informations personnelles, mais qui va par contre vous permettre de remplir les formulaires en un clin d’œil.

L’extension est conçue pour le navigateur Mozilla Firefox et s’appelle >>>SimpleFill.<<<

Son fonctionnement est simple comme bonjour. Dans un premier temps, vous allez devoir accéder aux options pour y inscrire une fois pour toutes vos informations personnelles. Il y a deux champs à remplir sur chaque ligne, celui de gauche est le nom que vous voulez donner à l’information de droite. C’est important de mettre quelque chose qui vous parle parce qu’après, lorsque vous remplirez un formulaire, c’est ce champ de gauche qui vous permettra de repérer les informations dont vous avez besoin.

Voici une petite démo en GIF:

Quand vous avez fini, n’oubliez pas de cliquer sur Save.
Ensuite, lorsque vous serez face à un formulaire d’inscription, il vous suffira de cliquer droit sur un des champs, et choisir ce que vous voulez:

Voilà, je pense que ça peut faire gagner pas mal de temps.

viaFirefox Remplir les formulaires en quelques clics.

Chrome Bloquer le pistage de Google Analytics

 

Google Analytics est un outil créé spécialement pour les webmasters qui permet d’obtenir tout un tas de statistiques sur la fréquentation d’un site ou d’un blog. C’est grâce à cela qu’on peut facilement connaitre le nombre de visiteurs, combien de temps passe chaque visiteur sur le site, avec quel navigateur il visite le site, d’où il vient, et bien d’autres choses complètement inutiles pour un bon nombre d’entre nous.

>>>Désactiver Google Analytics<<< est une petite extension qui a pour moi un double intérêt. Le premier concerne le webmaster qui souhaite que ses propres visites sur son site ne soient plus prisent en compte par Google Analytics. Pour vous donner un exemple, sur la plateforme de blogging Blogger de Google, il existe une fonctionnalité qui permet de Désactiver le suivi de ses propres consultations de pages. Cette fonctionnalité est intéressante… quand elle fonctionne, car c’est carrément inutile pour un webmaster de polluer ses statistiques avec ses propres visites. Malheureusement, elle ne fonctionne pas souvent, il faut donc bien trouver un moyen de ne pas être pris en compte dans les stats. En installant l’extension Désactiver Google Analytics, le webmaster est alors assuré que ses visites ne seront plus prisent en compte. Le deuxième intérêt de l’extension concerne le visiteur lambda qui en a marre d’être le mouton de service compté, recompté et pisté sur chacun des sites qu’il visite. L’extension va donc lui permettre de ne plus faire partie de ces statistiques, car Google Analytics ne sera plus en mesure de recueillir des informations sur lui. Cette extension fonctionne finalement assez simplement, car elle va se contenter de bloquer les scripts ga.js, analytics.js et dc.js pour empêcher la collecte et l’utilisation des données du visiteur. Ah oui, j’allais oublier, il suffit de l’installer pour que ça marche, vous n’avez rien à faire de plus.

Voilà, c’est une extension dont on parle peu, mais bien utile.

Geekologie.me

viaChrome Bloquer le pistage de Google Analytics.

Une méthode en ligne originale pour apprendre l’anglais, DuoLingo

Que ce soit pour soi-même pour réviser les bases de la langue ou pour ses enfants, DuoLingo propose une méthode complète pour apprendre l’anglais en ligne. L’application est 100 % gratuite, sans publicité et après s’y être inscrit via un compte de messagerie, un compte Facebook ou un compte Google+, les cours sont accessibles sur une interface Web ou depuis des applications mobiles pour Android et Apple (iPhone, IPad). La méthode est progressive et basée sur des unités (vocabulaire, grammaire, conjugaison…) qu’il faut suivre pour avancer dans l’apprentissage.
La réalisation du site est particulièrement bien réussie reposant sur des leçons et des exercices de vocabulaire, de compréhension orale, d’exercices à trous, de révisions, de mots ou de phrases à répéter ou à écrire, etc. Le style est un peu enfantin (le tutoiement de rigueur est un peu agaçant), ce qui dans l’ensemble destine la méthode d’apprentissage essentiellement à un public plutôt jeune. Au fur et à mesure des leçons, des tests et des révisions, on accumule des Lingots pour acquérir des exercices supplémentaires, récupérer un droit à l’erreur, passer un examen ou encore accéder à des leçons supplémentaires. La progression de l’élève est indiquée en permanence à l’écran avec la possibilité supplémentaire de réviser les connaissances acquises. Pour le moment la méthode n’est disponible que pour apprendre l’anglais, mais à partir de la fin mars 2014 il devrait aussi être possible de suivre un cours d’espagnol.
La méthode est très ludique, rythmée, pas du tout ennuyeuse, on enchaîne les leçons les unes après les autres en commençant par réviser les bases pour aborder ensuite des notions plus avancées. J’ai suivi quelques unités et à part la qualité audio que je trouve un peu juste et pas très compréhensible, je me suis pris au jeu en essayant d’avancer dans la méthode qui a le grand mérite d’être prenante.

 duolingo

DuoLingo intègre aussi un système de commentaires pour discuter des leçons avec les autres élèves qui pourront aussi se lancer des défis et faire des courses de niveaux entre eux. L’interface du site est disponible en français. L’interface est agréable, bien illustrée, colorée, et simple à manipuler, les mots écrits en anglais sont traduits en français quand on passe le curseur de souris dessus, il est en fait très difficile d’être bloqué dans sa progression, car une aide est toujours accessible pour avancer. En cas d’échec, l’exercice devra être recommencé.
La méthode ne transformera certes personne en bilingue parfait, mais elle a le mérite de faire apprendre ou réviser les bases de l’anglais à l’oral et à l’écrit ce qui n’est déjà pas si mal pour commencer un apprentissage de la langue anglaise, sans lasser l’élève avec des répétitions rébarbatives ou des exercices soporifiques, surtout que DuoLingo est réellement gratuit sans achat à effectuer une fois que les leçons ont été commencées.
La méthode est à faire découvrir aux enfants qui ont un peu de mal à se mettre à l’anglais.

Source : DuoLingo

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