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Transient, une superbe vidéo qui capture la beauté des éclairs à 1000 images par secondes

Vidéaste spécialisé dans le timelapse, la prise de vue aérienne et plus simplement la réalisation de tous types de films (publicités, documentaires, télévision), Dustin Farrel est un amoureux des belles images. Avec Transient, la plus récente de ses créations, ce bon Dustin a décidé d’aller capturer la majesté de la foudre. Une tâche accomplie avec brio, et surtout avec l’aide de la Phantom Flex4K, une caméra haute vitesse au tarif ahurissant (environ 110 000 dollars).

Transient from Dustin Farrell (www.dfvc.com) on Vimeo.

Véritable monstre de puissance et de précision, cette caméra est capable de capturer jusqu’à 1000 images par secondes, et en 4K s’il vous plait. Une performance rendue possible par le fait que la caméra enregistre et réécrit en permanence ce qu’elle filme dans sa mémoire interne. Charge alors au vidéaste de choisir ou non ce qu’il vient de voir dans son écran de contrôle. Une tâche qui demande une vigilance de tous les instants lorsque l’on filme, et qui a donné quelques sueurs froides à Dustin Farrel.

Pour dégoter ces plans absolument magnifiques, Dustin Farrel a passé pas moins de 30 jours à arpenter l’Arizona, réalisant un crochet par les grandes plaines où il a pu capturer l’orage super cellulaire que l’on peut apercevoir dans le film. Au total, il aura parcouru environ 20 000 miles (soit à peu près 32 000 de nos kilomètres), dont une partie en compagnie de Chad Cowan, dont nous avons déjà présenté le travail il y a quelque temps.

• Lire aussi : Pursuit, un formidable timelapse sur la chasse aux orages supercellulaires

Comme la plupart des personnes qui pourchassent les phénomènes météorologiques, Dustin Farrel est passé par de nombreux états émotionnels, de la joie d’avoir pu capturer l’image parfaite à la déprime suite à une journée qui a mal tourné. Sur les 30 jours de tournages, il est ainsi rentré bredouille près d’une dizaine de fois, sans images pour son film. Une « souffrance » qui en valait cependant la peine lorsque l’on regarde le résultat final, et la beauté qui se dégage de chacun des plans présents dans Transient.

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