Archives de catégorie : Les infos geek

Geek – Allons-y exprimez vous !

Premier test à grande échelle d’une machine permettant d’imprimer des maisons en 3D

Premier test à grande échelle d’une machine permettant d’imprimer des maisons en 3D

Trop forts les Chinois ! À partir de composants vendus dans le commerce à l’étranger, la société Shanghai WinSun Decoration Engineering Co a mis au point et assemblé une imprimante 3D capable d’imprimer des maisons. Hé oui, cette machine de 32 mètres de long sur 10 mètres de large peut monter des murs jusqu’à 6 mètres de hauteur.

Rassurez-vous, les murs ne sont pas en plastiques, mais en béton (ciment + fibre de verre produite à partir de matériaux de chantier recyclés) et niveau temps et coût, c’est très rentable puisqu’en 24h, ils ont « imprimé » 10 maisons de 200 mètres carré chacune pour un prix à l’unité de 4300 €.

article maison316 Premier test à grande échelle dune machine permettant dimprimer des maisons en 3D

Ça va… Reste à savoir maintenant si c’est solide, durable et aussi écologique qu’ils le prétendent. Mais en tout cas, ce n’est pas cher 😉

Voici une démo en vidéo d’une techno similaire. Vous allez voir, c’est très impressionnant !

 

A terme, on ira chez Casto ou Kiloutou, on chopera une de ces machines, on la placera sur son terrain, puis on ira télécharger les plans de sa maison idéale sur The Pirate Bay et on enverra la sauce. Ensuite, il ne restera plus qu’à finir la garniture (isolation, murs, déco, électricité, eau…etc.) à la main. Ce sera magique et surtout économique !

L’avenir va être passionnant !

Merci à DCP pour l’info !

Source

viaPremier test à grande échelle d’une machine permettant d’imprimer des maisons en 3D « Korben.

Facebook Désactiver la lecture automatique des vidéos

Depuis quelque temps, Facebook lance automatiquement les vidéos qui ont été publiées par vos amis dans le fil d’actualité, et personnellement, je ne trouve pas ça vraiment pratique, voir même très gênant. Heureusement pour nous, Facebook nous laisse le choix d’activer ou désactiver cette option, qui est sur lecture auto par défaut. L’inverse aurait été plus judicieux de la part de Facebook, mais passons.

Donc pour désactiver la lecture automatique des vidéos, il faut dans un premier temps vous rendre dans les paramètres en cliquant sur l’engrenage en haut à droite de votre profil:

Ensuite, vous devez sélectionner le menu Vidéos sur le panneau de gauche:

Ici, vous n’avez pas vraiment le choix puisque la seule option possible est celle qui permet d’activer ou désactiver la lecture automatiquement des vidéos.

Voilà, une fois sur Désactivé, les vidéos seront beaucoup moins gênantes.

Geekologie.me

viaFacebook Désactiver la lecture automatique des vidéos.

Faire une capture vidéo en continu de l’écran de son PC, Screencast capture

Un screencast est l’opération informatique qui consiste à enregistrer tout ce qui se passe sur l’écran d’un ordinateur sous la forme d’un fichier vidéo. C’est par ce moyen qu’on réalise des tutoriels vidéo accompagnés éventuellement de commentaires audio pour faire des formations vidéo, présenter un logiciel, montrer une manipulation particulière à réaliser dans un programme, etc.
L’utilitaire gratuit pour Windows Screencast capture est un programme pour réaliser des screencasts. Il est distribué sous licence GNU GPL v3 et ses sources sont disponibles sur le site du développeur. Le programme s’installe comme n’importe quelle application Windows et une version portable est également proposée par l’auteur (pour cela, télécharger la version zippée du programme).
Pour le moment, le programme ne peut capturer que l’intégralité de l’écran principal connecté à un PC, une fenêtre sur celui-ci ou une zone déterminée sur cet écran.
L’outil est très simple d’utilisation. L’encodage se fait avec le codec H624 qui produit des fichiers vidéo d’une taille raisonnable sans pour autant sacrifier la qualité.
Quelques options sont disponibles pour capturer pendant l’enregistrement des vidéos les clics de souris, le curseur de souris et les touches tapées au clavier. Le chemin de sauvegarde des fichiers vidéo est modifiable ; par défaut les vidéos sont sauvegardées dans le dossier Vidéos du profil utilisateur Windows.

screeencast-windows

Le nombre de frames par seconde pour les flux vidéo et audio est configurable ainsi que le type de container vidéo utilisé pour l’enregistrement du fichier (avi, mkv, m4v, mp4 ou mov). Pour les touches clavier utilisées pendant un enregistrement, elles sont signalées en surimpression sur la vidéo. Dans les options, on peut choisir la police de caractères et la taille de la police à utiliser.
Le programme peut aussi prendre en charge une webcam et bien entendu un microphone pour enregistrer des commentaires audio pendant une capture vidéo.
L’outil est tout récent, il est donc encore en cours de développement, mais il produit d’ores et déjà des résultats très prometteurs.

Source : Screencast capture

viaFaire une capture vidéo en continu de l’écran de son PC, Screencast capture | Les Infos de Ballajack.

Des millions de chansons à écouter, Forgotify

En règle générale l’amateur de musique et de chansonnettes se contente d’écouter ce que les radios, les télés et les médias passent en boucle parce qu’ils estiment que c’est de la bonne musique. Sur les différents services d’écoute de musique en ligne, ce sont d’ailleurs ces mêmes morceaux standardisés qui sont mis en avant et par conséquent les plus écoutés par les visiteurs de ces sites. C’est à cause de ce comportement de masse que des pseudo musiciens casqués et sans le moindre talent, autre que celui qu’on leur prête complaisamment parce qu’ils rapportent un tas de fric à leurs producteurs qui arrosent à tout va, parviennent à une certaine notoriété (éphémère comme tout phénomène commercial) simplement en couinant quelques mots en Anglais accompagnés d’un bruitage aussi mélodieux que celui produit par un marteau piqueur. Bref pour résumer mon point de vue nuancé sur le propos : une production « musicale » proche d’une bouillie prédigérée pour distraire les clients des supermarchés quand ils font leurs courses et pour agrémenter les courts trajets en ascenseur.
En parcourant les gazettes, j’ai appris que sur Spotify, que quelques 4 millions de chansons n’avaient jamais été écoutées même pas une seule fois. Étant donné qu’un groupe ridicule comme Daft Punk arrive à vendre sa soupe imbuvable au monde entier, je me suis demandé quel genre de musique on pouvait trouver dans les tréfonds voire les bas-fonds de Spotify.
N’écoutant que mon courage, je me suis donc laissé tenter par Forgotify qui de façon complètement aléatoire, propose une chanson jamais écoutée par quiconque sur le service en ligne Spotify. Le titre, le nom du chanteur et la pochette de la chanson s’affichent sur la page. L’écoute se fait en cliquant sur le bouton de lecture qui redirige vers Spotify. D’autres titres peuvent être écoutés en cliquant sur le bouton Next.

forgotify

Évidemment, j’ai eu droit à une brochette de musiciens et de chanteurs inconnus, parfois des duos ou des orchestres voire des fanfares, jouant et chantant avec plus ou moins de bonheur, des mélodies en hongrois, en turc ou dans tout autre dialecte. Beaucoup de musique classique m’a également été proposée, preuve en est que les gens n’ont pas le moindre goût en matière musicale.

chanson-inconnue

La plupart du temps ces chansons sont complètement inaudibles, tout comme pour celles de Daft Punk qui font saigner des oreilles, mais au moins j’ai passé un bon moment de franche rigolade à les écouter en laissant faire le hasard des chansons aux titres assez improbables comme Visarsheel Khas Mala, Tuhle rundu platím já ou Hriso mou helidoni.

Source : Forgotify

viaDes millions de chansons à écouter, Forgotify | Les Infos de Ballajack.

Quand le GIF animé devient réel

Quand le GIF animé devient réel

Si vous cherchez à faire un petit cadeau sympa à vos amis, foncez sur Gifprint. C’est un site qui vous permet de créer un petit carnet animé façon dessin animé à partir d’un bête gif animé. Ça me rappelle ce que je faisais en bas de mes cahiers de cours quand j’étais jeune et beau.

flipbook 2634483f8be5a3b3c76bc8795fe8fe329 Quand le GIF animé devient réel

 

Vous uploadez le gif, et il vous génère un PDF d’images à découper puis à agrafer. C’est rigolo et ce n’est pas compliqué 😉

Et pour trouver des gifs sympas, pensez à Giphy !

source

 

 

Quand le GIF animé devient réel « Korben.

Compilation d’outils pour tout savoir d’un site Web

Pour connaître les technologies sous-jacentes employées pour créer un site Web, pour retrouver le propriétaire d’un site afin de le contacter, pour connaître le nom de l’hébergeur, pour établir la liste de tous les autres sites Web hébergés sur un même hébergement mutualisé, pour savoir si un site tourne avec le CMS WordPress ou Drupal, pour savoir quel système de monétisation est utilisé ou quelles sont les régies publicitaires d’un site, pour vérifier que la consultation d’un site Web est bloquée depuis la Chine, etc., il faut se munir d’outils spécialisés pour analyser ces différents facteurs qui en disent parfois très long sur la nature d’un site Web et/ou de son propriétaire.
Voici une liste d’outils gratuits utilisables en ligne en renseignant l’URL du site à explorer pour mener à bien une petite enquête et découvrir tout ce qu’il convient de savoir sur les détails d’un site pour peu que l’on soit curieux de voir ce que cachent ses entrailles techniques, quelles sont ses performances générales, son impact sur les réseaux sociaux…
Cette liste sera régulièrement mise à jour en fur et mesure de mes découvertes.

Just-ping.com : Cet outil est utile pour déterminer si un site Web est accessible depuis d’autres pays. Plus de 90 stations de contrôle sont réparties dans le monde y compris la Turquie, l’Égypte et la Chine. Si la réponse au ping indique une perte de paquets de l’ordre de 100 %, il est plus que probable que le site soit inaccessible depuis le point de contrôle du pays en question.
Who.is : Cet outil permet de connaître l’adresse de contact, l’adresse de messagerie et le numéro de téléphone du propriétaire d’un site Web. Les bases de données Whois sont interrogées, mais l’information est peu fiable étant donné qu’il est tout à fait possible de protéger un nom de domaine en masquant ces informations ou en donnant des informations erronées au moment de l’achat du nom de domaine. L’outil détermine également la date d’enregistrement du domaine, sa date d’expiration, la date de la dernière mise à jour, l’adresse IP du site, le nom de l’hébergeur, l’adresse des DNS…
Whoishostingthis.com : Cet outil indique le nom de l’hébergeur d’un site Web. Cela s’avère utile s’il n’est pas possible de joindre le propriétaire d’un site, en dernier recours (signalement de contenu non approprié, plagiat manifeste…) on pourra s’adresser à son hébergeur. Pour déterminer l’hébergeur, l’outil se base sur les enregistrements DNS.
Popuri.us : Un outil pour déterminer une estimation de la popularité d’un site sur les réseaux sociaux comme Twitter, Google+ et Facebook. L’outil affiche aussi le Pagerank du site et des indicateurs de confiance.
Chillingeffects.org : Ce site enregistre une copie des plaintes DMCA (Digital Millennium Copyright Act) dans sa base de données. Il s’agit d’une législation destinée à lutter contre les violations du droit d’auteur. Les moteurs de recherche proposent des formulaires dédiés pour signaler ce type de contenus. On peut retrouver qui a porté plainte contre un site ainsi que ses propres demandes de retrait.
Myip.ms : Cet outil affiche un rapport complet sur un site à partir d’un nom de domaine ou d’une adresse IP : hébergeur, localisation physique du serveur Web…
Ewhois.com : Cet outil permet de déterminer les autres sites Web du propriétaire d’un domaine en se basant sur le code Google Analytics et l’identifiant Adsense.
Buildwith.com : Avec cet outil on va déterminer les technologies utilisées par un site Web : CMS et version, Widgets, CDN (Amazon S3 ou Google Cloud), codes de tracking…
Semrush.com : Un outil  (gratuit pour les fonctions de base) pour analyser le SEO d’un site : liens, mots-clés, positionnement, trafic, concurrents…
Whatsmydns.net : Un outil pour suivre la propagation DNS d’un domaine et voir sa progression.
Modern.ie : Cet outil permet de tester la compatibilité d’un site Web avec les différents navigateurs Web.
Developers.google.com : Cet outil permet de mesurer la vitesse d’affichage d’un site pour ses versions desktop et mobile. Plus le score Page Speed obtenu est haut, plus les performances du site sont importantes. Des suggestions d’améliorations sont aussi indiquées.
Ctrl.org/sandbox : Un outil pour résoudre les problèmes rencontrés avec la régie publicitaire Adsense.
Httparchive.org : Un outil d’analyse d’un site Web pour mesurer les temps de réponse moyens, le poids des pages et des images, des fichiers CSS, des scripts JavaScript, etc.

web-illustration

Via : Digital Inspiration

viaCompilation d’outils pour tout savoir d’un site Web | Les Infos de Ballajack.

Comment sauvegarder ses données en toute simplicité

N’attendez pas de voir vos données disparaître suite à une fausse manipulation, un piratage, un virus ou à une panne :
sauvegardez-les !
Pour cela, plusieurs solutions s’offrent à vous, du disque dur externe au stockage “dans les nuages”.
Suivez le guide !

Qui n’a jamais perdu, à cause d’une mauvais manipulation, d’une panne, voire d’un piratage ou d’un vol, toutes ses données ? Il suffit de quelques secondes pour que vos photos, sons, vidéos et documents divers partent en fumée. Dans ce cas là, deux solutions : soit vous les avez perdus à jamais, soit vous avez pris vos précautions, et vous les avez sauvegardés ailleurs.

Non, sauvegarder vos données (régulièrement) n’est pas une perte de temps, bien au contraire. Il y a encore peu, il vous fallait utiliser toute une armada de DVD, de CD-R, voire… de disquettes (pour les plus “anciens”). Aujourd’hui, le progrès vous permet de préserver vos fichiers d’une façon bien moins fastidieuse – simple, rapide et (relativement) économique.

Concrètement, plusieurs solutions s’offrent à vous : la copie manuelle sur support physique, les logiciels de sauvegarde automatisés, la copie des données sur un serveur (FTP, NAS), ou le stockage dans le Cloud. Suivez-donc le guide.

Sauvegarde physique

La solution la plus évidente, c’est bien sûr d’effectuer une copie de sauvegarde locale. Autrement dit, d’utiliser un disque de secours. Préférez le disque dur externe USB au disque dur interne : vous n’aurez rien à installer manuellement, aucun matériel à démonter, et vous pourrez emporter vos données avec vous, partout, à l’instar d’une clé USB.

L’achat d’un gros disque externe de plusieurs téraoctets, dans le cas d’une sauvegarde de masse (des photos, des vidéos à la pelle), peut vous revenir à plus d’une centaine d’euros. Dans le domaine des disques durs externes, c’est la foire, il en existe de toute tailles, formes, capacités… et à tous les prix. A moins de tomber sur une série vraiment défaillante le solution se valent en terme d’efficacité et de robustesse. Elle se distingueront sur la rapidité en fonction de la technologie choisie (USB 2.0, USB 3.0, Thunderbolt…). A noter que la plupart des disques externes proposent des solutions d’archivage avancé, et des logiciels de chiffrage des données.

Bien entendu, le problème auquel vous risquez d’être confronté est le suivant : si vous faites une sauvegarde le 1er avril, que vous laissez le temps filer et que vous perdez vos données trois mois plus tard, vous ne récupérerez pas l’ensemble de vos données via votre disque externe. D’où l’utilité, la très grande utilité, des logiciels de sauvegarde, dits logiciels de synchronisation, ou de backup automatisé.

Il s’agit tout simplement d’un logiciel qui copiera toutes vos données de façon régulière (toutes les semaines, tous les deux jours, tous les jours, au choix), et cela de façon automatique, depuis votre ordinateur jusqu’à votre disque externe. Il en existe une vaste gamme, mais si choix vous devez faire, préférez Cobian Backup et SyncBack pour les gratuits, ou SmartSync Pro pour les payants.

Seuls inconvénients à la solution de la sauvegarde physique : vous restez limité par la taille du disque dur, et si la machine grille, bye bye les données.

En réseau

Vous pouvez très vite vous retrouver à utiliser plusieurs disques durs, plusieurs supports physiques, plusieurs appareils, et là, c’est le désordre. Une autre solution s’offre à vous, qui vous permettra de stocker vos données, tout en les rendant accessibles à plusieurs machines : le réseau.

Pour copier vos données sur un serveur distant, deux choix : soit vous montez votre propre serveur FTP sur une seconde machine, mais cela s’avérera vite complexe, soit, bien plus simple d’utilisation, vous achetez un NAS (ou Network Attached Storage).

Il s’agit d’une unité de disques en réseau, c’est-à-dire un boîtier de stockage permettant de partager (et de gérer) des fichiers sur un serveur accueillant plusieurs disques durs. Comme pour les disques externes, les prix des NAS varient selon leur capacité de stockage (le nombre de disques durs pouvant être insérés) et leurs fonctionnalités, mais en moyenne, comptez entre 150 et 300 euros.

Parmi ces fonctionnalités, vous pourrez sauvegarder automatiquement des données, mais aussi planifier des téléchargements, monter un “Cloud privé”, ou même créer un jukebox multimédia, dont les contenus seront accessibles via votre télévision, par exemple.

Une solution pratique, donc, si vous désirez partager des données entre plusieurs ordinateurs. Seul inconvénient : vous stockerez vos données dans un seul endroit – avec les risques de panne que cela implique.

A noter que certains constructeurs propose des solutions de types NAS mais en version simplifiée afin d’en facilité l’installation et l’usage. Elles n’ont pas toutes les fonctionnalités avancées mais sont amplement suffisantes pour assurer la sauvegarde de données. C’est le cas du Western Digital My Cloud ou de l’écosystème Pogoplug

Dans les nuages

Reste enfin la solution la plus simple : stocker vos données dans le Cloud. Il existe une pléthore de services, gratuits dans leur version “de base”, payants dans leur version avancée (avec de plus grandes capacités de stockage). Les plus connus : Box, DropBox, OneDrive, Google Drive, iCloud, Unikube

Avantages du Cloud : vos données sauvegardées peuvent être synchronisées en permanence. L’utilisation de ces services a été simplifiée au maximum ; et vous pouvez aussi partager vos fichiers avec d’autres personnes, où qu’elles se trouvent, via un simple lien.

Les prix varient, donc, selon la capacité de stockage : gratuits, vous pouvez stocker jusqu’à 20 ou 30 Go en moyenne. Au delà, il faudra opter pour une offre payante, allant de 20 à plusieurs centaines d’euros par an, pour un espace allant de 50 à 500 Go.

Reste la question de la confiance envers le service utilisé. Il existe des solutions Cloud moins connues, mais tout aussi efficaces, open source ou n’étant pas aux mains de ces “Géants du Web” américains soumis au Patriot Act, qui font régulièrement parler d’eux en terme de fuites de données et de violation de la vie privée : SparkleShare, SpiderOak, Wuala, ou encore le français Hubic, d’OVH.

Voilà, vous êtes désormais parés pour ne plus jamais perdre de données. Ou presque : il ne suffit pas, en effet, d’opter pour telle ou telle solution, et de se laver ensuite les mains. Certes, vous sauvegarderez vos données, mais le risque subsistera si vous les sauvegardez dans un seul endroit. D’où ce dernier conseil, de bon sens : multipliez les outils, faites des sauvegardes régulières, et pas dans un seul endroit uniquement. Vous êtes prévenus.

Fabien Soyez (Cnet France)

 

 

Comment sauvegarder ses données en toute simplicité.

Un éditeur photo dans Facebook, Photon

Je dois bien reconnaître que je ne suis pas un grand fan de Facebook. Je ne l’ai d’ailleurs jamais été, l’incompréhension entre le réseau social et moi a été immédiat. À vrai dire je ne m’y connecte absolument jamais si ce n’est pour de temps à autre regarder une nouvelle fonctionnalité, vérifier un paramètre de sécurité qui pour la énième fois vient de changer ou constater une fois de plus que l’interface est brouillonne. Pour certains c’est un outil utilisé au quotidien. J’avoue que j’ai un peu de mal à comprendre comment un simple album photo a pu prendre une part si importante dans la vie de certaines personnes.
Donc uniquement, pour les nombreux amateurs du réseau social, l’extension Photon pour le navigateur Chrome ajoute les fonctionnalités d’un éditeur photo directement dans l’interface de Facebook.
On y accède en cliquant sur n’importe quelle photo publiée sur Facebook. Les icônes de l’outil sont affichées en haut à gauche sur la photo. La première icône Close Photon permet de sortir du mode édition, l’icône Download permet de télécharger la photo dans son format original, Share permet de la partager et Edit de passer en mode édition.
À partir du mode édition, on dispose d’une palette d’outils disposée en haut de la photo pour d’une part la modifier, l’améliorer et d’autre part lui appliquer des filtres à la sauce Instagram.
Les outils sont les suivants ; une loupe est accessible depuis la fenêtre principale, les modifications sont annulables, on sauvegarde une image modifiée en cliquant sur le bouton Save.

facebook-photon

  • Enhance : amélioration de la photo et correction automatique des couleurs
  • Effects : accès aux filtres de couleurs
  • Frames : ajout de cadres
  • Stickers : ajout d’objets divers et variés sur une photo
  • Crop : recadrage de la photo avec un choix de nombreux gabarits (carré, 4:3, 16:9, taille à définir…)
  • Resize : pour redimensionner la photo à la taille voulue
  • Orientation : rotation de la photo et effet miroir
  • Focus : éclairage d’une zone de taille variable sur la photo. La forme de la zone est carrée ou circulaire ; les autres parties de la photo restent floues.
  • Brightness : éclairage
  • Contrast : contraste
  • Saturation : saturation des couleurs
  • Warmth, Sharpness, Splash : correction et modification des couleurs
  • Draw : outil pour dessiner sur la photo
  • Text : outil pour ajouter du texte sur la photo
  • Redeye : outil pour supprimer les yeux rouges d’une photo
  • Whiten : outil de blanchissement des dents
  • Blemish : outil pour gommer les défauts sur une photo

Même pour quelqu’un comme moi qui n’apprécie pas Facebook, je dois bien reconnaître que Photon est un éditeur photo de tout premier plan qui devrait rendre bien des services aux aficionados du réseau social. L’application a été développée par Aviary qui propose d’autres outils graphiques pour Android et Apple sur son site Web.

Source : Photon

viaUn éditeur photo dans Facebook, Photon | Les Infos de Ballajack.

Un outil pour vérifier les liens d’un site Web, Xenu’s Link Sleuth

Un des aspects les moins agréables de ma vie de blogueur ou jour après jour je présente des outils et des sites Web c’est d’en voir disparaître certains brutalement seulement après quelques mois d’activité. Une absence de modèle économique (la gratuité c’est bien, mais sur le long terme ça ne tient pas la route, car il faut bien vivre de son travail), des coûts de fonctionnement trop élevés, la lassitude du développeur, un succès qui ne vient pas… les causes de l’arrêt d’une activité sont multiples. Mise à part la gêne occasionnée, cela engendre sur ce blog (et sur bien d’autres) des liens vers des pages Web qui pointent vers du vide, ce qui à mon avis décrédibilise l’ensemble d’un blog si cette situation se répète un peu trop souvent. Pour supprimer les liens morts de ce site, j’utilise le plug-in WordPress Broken Link Checker qui me donne toute satisfaction, car chaque jour il moissonne des liens morts dans mes billets et dans les commentaires qui ne sont pas épargnés non plus par ce phénomène. Le principal reproche que je fais à Broken Link Checker c’est qu’il consomme des ressources de mon serveur et qu’il n’est pas très rapide pour faire l’analyse des liens étant donné qu’elle ne se fait que lorsqu’un certain seuil d’activité minimum le permet.
Avec l’utilitaire gratuit pour Windows Xenu’s Link Sleuth, on fonctionne de toute autre façon puisque l’outil va analyser tous les liens (internes et externes) d’un site Web quelconque (ou d’un fichier HTML) en une seule passe pour signaler ceux qui ne répondent plus en indiquant la cause de l’erreur : timeout, hôte non trouvé, page non trouvée… ; les URLs redirigées sont indiquées.

xenu

Pour vérifier les quelque 55 000 liens accumulés sur ce blog, leur examen a pris près de 4 heures. Les liens signalés morts une première fois peuvent être vérifiés à nouveau pour s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un problème réseau temporaire. Une fois que l’analyse est terminée, un rapport ordonné s’affiche, un fichier Google Sitemap peut être généré et le rapport peut se sauvegarder ou s’exporter sous différents formats (HTML, CSV). Depuis l’interface de l’utilitaire, on a la possibilité d’effectuer des recherches, de n’afficher que les liens morts, de trier les colonnes, etc. L’interface est très austère, le programme n’est pas tout nouveau (la dernière version date de septembre 2010), mais il fonctionne très bien en faisant pour quoi il a été conçu. Le programme est en anglais, mais un guide d’utilisation en français est disponible depuis le site du développeur.

rapport-analyse-xenu

Xenu’s Link Sleuth est particulièrement adapté aux gros sites comportant des dizaines de milliers de liens. Pour des sites plus modestes, il est tout à fait envisageable d’effectuer cette analyse depuis un outil en ligne comme Online Broken Link Checker ou W3C Link Checker.

Source : Xenu’s Link Sleuth

viaUn outil pour vérifier les liens d’un site Web, Xenu’s Link Sleuth | Les Infos de Ballajack.

Lutter efficacement contre le Spam, SpamGourmet

Dès que l’on donne son adresse mail sur un site Web pour s’inscrire à une newsletter ou pour se servir d’une application en ligne, on alimente la machine à spams qui va se retourner rapidement contre le possesseur de l’adresse de messagerie si généreusement offerte, mais revendue à prix d’or par tous les margoulins qui sévissent dans le marketing. Pour éviter d’être la proie de ces nuisibles, une solution radicale consiste à fournir une adresse mail bidon temporaire quand on doit absolument en donner une pour pouvoir bénéficier d’un service ; par exemple en passant par le site 10 minute mail ou tout autre site du même genre permettant d’obtenir une adresse mail poubelle en quelques secondes.
Une solution beaucoup plus avancée est de passer par l’excellent SpamGourmet qui repose sur un principe de fonctionnement différent. En effet à partir d’un compte utilisateur associé à une adresse mail bien réelle à protéger, on obtient d’une part un pseudo et d’autre part une adresse mail de type pseudo@spamgourmet.com. À partir de cette dernière, on dispose alors d’une infinité de mails de type xxx.pseudo@spamgourmet.com ou les caractères xxx peuvent être remplacés par n’importe quoi d’autre : nom, mot, caractères… Il suffit alors de communiquer ce type adresse mail pour s’inscrire sur n’importe quel service qui en demande une, SpamGoumet fera automatiquement la redirection vers l’adresse mail réelle.
Comme on dispose virtuellement d’une infinité d’adresses mail jetables, il devient facile grâce aux caractères xxx de les identifier très précisément afin de savoir qui pratique la revente d’adresses mail, par exemple viadeo.xxx@spamgourmet.com pour s’inscrire sur Viadeo (au hasard), usine à spams redoutable s’il en est… Pour chaque inscription demandant une adresse mail, à chaque fois que nécessaire, en ajoutant simplement un mot (quelconque ou bien choisi, par exemple le nom du fournisseur ou du site Web) devant son adresse mail SpamGourmet, on sait toujours à qui on l’a donné.

spamgourmet

Voilà pour le fonctionnement général de SpamGourmet qui dans sa version de base (no-brainer-mode) ne nécessite pas de revenir sur le site une fois qu’un compte a été crée et qu’on dispose de son adresse mail en @spamgourmet.com. Il faut savoir aussi que les mails jetables créés sont temporaires, utilisables un certain nombre de fois indiqué par un compteur sur l’adresse mail jetable qui est donc auto destructible ; par exemple le mail viadeo.10.xxx@spamgourmet.com ne pourra être utilisé que 10 fois avant d’être automatiquement supprimé. Il est bien sûr possible de répondre à un mail quelconque en donnant comme adresse d’expédition celle qui a été choisie sur SpamGourmet.
Les adresses mail déjà créées pour son pseudo sont centralisées sur la console de gestion de son compte sur SpamGourmet (advanced mode). Le service n’est pas récent puisqu’il existe depuis plus de 10 ans. L’interface utilisateur est vieillotte, semble confuse, mais le service 100 % gratuit fonctionne à la perfection, ce qui est le principal. L’interface est disponible en français, mais la qualité de la traduction n’est vraiment pas satisfaisante, je vous conseille donc de basculer sur un affichage en anglais pour bien comprendre toutes les subtilités de SpamGourmet en lisant sa FAQ très complète.
Pour celles et ceux qui sont à la recherche d’un service du même genre en plus moderne, je leur propose de s’inscrire sur CloseToShop afin d’obtenir une invitation pour tester une application très prometteuse de lutte contre le spam. J’y reviendrai quand le service sera ouvert au public, mais d’après mes premiers tests, c’est une solution anti spam très prometteuse.

Source : SpamGourmet

viaLutter efficacement contre le Spam, SpamGourmet | Les Infos de Ballajack.