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Patch Tuesday : Microsoft supprime une mise à jour dangereuse pour Windows 7

Microsoft a publié en fin de semaine dernière une mise en garde concernant la mise à jour KB3004394 présente dans le Patch Tuesday de décembre. Cette dernière cause de nombreux troubles à Windows 7.

Mardi dernier, Microsoft déployait le Patch Tuesday de décembre. Et pour certains utilisateurs de Windows 7, cette démarche a entrainé de nombreux troubles au sein du système d’exploitation : Après mise en place du pack KB3004394, impossibilité d’installer des drivers de cartes graphiques AMD et NVIDIA, difficultés d’utilisation de Windows Defender ou de certains programmes tiers, comme VirtualBox 4.3.20. Pour couronner le tout, cette mise à jour bloque la possibilité d’installer de nouvelles mises à niveau.

Microsoft explique que seuls Windows 7 SP1 et Windows Server 2008 R2 SP1 sont touchés : pour les autres systèmes d’exploitation et logiciels concernés par le Patch Tuesday, aucun dysfonctionnement n’est à signaler.

L’entreprise a déployé un patch visant à supprimer KB3004394 d’une machine, par le biais de Windows Update, qu’il faut donc lancer manuellement.
Si cette solution venait à ne pas fonctionner, il est possible de télécharger la mise à jour directement sur le site de >>>Microsoft.<<<
Il est également possible de désinstaller la mise à jour via le panneau de configuration.

Audrey Œillet

Ubuntu Builder 2.4.0 – Créer et personnaliser sa version Ubuntu


La dernière version d’Ubuntu Builder la 2.4.0 vient d’être publiée, les améliorations majeurs apportés à cette version, quelques corrections de Bugs .
Mais aussi et surtout l’embarcation de support pour Ubuntu Raring 13.04.

Si vous ne savez pas à quoi sert cette application, sachez qu’elle a pour vocation de vous permettre la création facile d’une version personnalisée d’Ubuntu.

Ubuntu Builder, grâce à son interface graphique agréable et facile, vous permet de personnaliser votre distribution en choisissant :

L’environnement Bureau

Applications

Thèmes

Et toutes autres sorte d’outils vous permettant de personnaliser à votre guise votre distribution

Pour installer Ubuntu Builder 2.4.0 à l’aide de ces quelques lignes de commande :

sudo add-apt-repository ppa:f-muriana/ubuntu-builder
sudo apt-get update
sudo apt-get install ubuntu-builder


lemondedestuts

chattr – Interdire la suppression d’un fichier ou d’un dossier


Bien qu’Il existe des outils permettant de récupérer un fichier supprimé accidentellement, mais le mieux est encore de pas le supprimer.

Et c’est pour cette raison que je me permet de vous publier cette astuce qui va surement un jour vous éviter de vous arracher les cheveux .

Il existe un utilitaire sous Ubuntu qui permet de poser un verrou sur un fichier ou un dossier. Une fois que le verrou est posé, vous ne pourrez plus supprimer le fichier / dossier, même en root. Pour cela, vous aurez pas besoin de logiciel tiers car Ubuntu, dispose par défaut de chattr une commande qui permet de mettre le fameux verrou sur un fichier/dossier.


lemondedestuts

La version stable d’Opera 26 est disponible pour linux (en 64 bits uniquement)

Le navigateur Web Opera 26 ( basé sur chromium 39 ) vient d’être publié il y a quelques jours pour Windows, Mac et Linux. Il est la première version stable pour linux depuis Opera 12.16, qui remonte à quelque un an et demi. Cette dernière version est disponible uniquement en 64 Bits, les explications donnés par l’équipe d’opera pour justifier leur concentration sur la 64 bits est:

La dernière version d’Opera pour Linux est en 64 bits uniquement, cette décision est basé sur ce que la plupart des utilisateurs de bureau Linux ont installé.
Si vous avez une version 32 bits, vous pouvez continuer à utiliser Opera 12.16.


Il est livré avec les mêmes caractéristiques que celles que l’on retrouve sur Opera pour Windows et Mac, y compris Speed Dial, la fonction découvrir, Opera Turbo, le partage des dossiers de favoris etc …

Télécharger Opera 26 stable pour Linux (.deb 64 bits uniquement)

>>>Télécharger Opera 26 (stable) pour Linux<<<

Installer Opera 26 stable sur Ubuntu 14.04 et dérivées:

Il suffit de télécharger le fichier .deb à partir du lien ci-dessus et un double clic dessus aura pour effet d’ouvrir la logithèque Ubuntu et enfin installer le navigateur.

Lors de l’installation via le fichier .deb d’Opéra 26 , il vous sera demandé si vous souhaitez activer le dépôt Opera, c’est utile pour recevoir des mises à jour automatiques Opera.

lemondedestuts

 

Excel – Traduire une formule du Français en Anglais

excel

Introduction

Cette astuce utilise l’interface VBA d’Excel, sans toutefois ajouter de code à votre classeur. Nous allons ici utiliser une possibilité de la fenêtre d’exécution.

Utilité

La première utilisation de cette méthode concerne nos amis Anglais de passage sur les forums Français. Il n’est pas toujours aisé de traduire les formules complexes. La seconde est pour une utilisation des formules sous VBA. Ce langage de programmation utilise, en effet, l’Anglais.

Méthode

1- saisir votre formule dans la feuille Excel, 2- validez cette formule,
3- sélectionnez la cellule qui contient votre formule,
4- Tapez ALT+F11,
5- Tapez Ctrl+G,
6- Dans la fenêtre d’exécution, saisir : ? ActiveCell.Formula
7- validez par Entrée
Vous obtenez votre formule traduite en Anglais…

Exemple en images

1- saisir votre formule dans la feuille Excel

2- validez cette formule

3- sélectionnez la cellule qui contient votre formule

4- Tapez ALT+F11, 5- Tapez Ctrl+G

6- Dans la fenêtre d’exécution, saisir : ? ActiveCell.Formula

7- validez par Entrée

pijaku_CCM

Fedy – Un ensemble de scripts de post-installation pour Fedora


Si vous tournez sous Fedora et que vous aimez sortir des sentiers battus en installant des applications non présentes par défaut lors d’une installation traditionnelle, Fedy est un petit script qui va peut-être vous intéresser. Celui-ci a été conçu dans le but de vous permettre d’ajouter des applications telles que Brackets, le plugin Adobe Flash, Skype, Chrome, Sublime Text 2, 3, etc, et d’assurer leur mise à jour via les repos qui vont bien (RPM-Fusion entre autres). D’après ce que j’ai vu Fedy permet également d’appliquer quelques petits tweaks à votre système, comme mettre de la couleur dans votre terminal ou ajouter différents thèmes par exemple. Ça a l’air plutôt sympa et bien que tout cela puisse se faire à la main, ce petit outil permet de ne pas avoir à entrer des tonnes de lignes de commande. Tout peut se faire en cochant simplement les cases qui vous intéressent, à la manière de Fedora Utils dont il a l’air très proche. Si ça vous branche nous allons voir comment en profiter.

Comme vous allez le voir, installer Fedy n’est pas bien compliqué. Il suffit d’ouvrir un terminal et d’entrer les commandes suivantes :

wget http://satya164.github.io/fedy/fedy-installer
chmod +x fedy-installer
sudo ./fedy-installer

À ce stade Fedy devrait se trouver dans le menu des applications et il ne vous reste plus qu’à le lancer pour cuisiner votre Fedora à votre sauce.

la vache folle

Robocode – Un jeux intéressant pour les gamers et les programmeurs Java


Si vous aimez bien jouer et programmer, Robocode est un jeu éducatif assez intéressant qui va sans doute vous plaire. Placé sous licence libre et distribué gratuitement par IBM, Robocode a pour principe de vous permettre de concevoir des batailles de tanks miniatures à partir de modèles préconfigurés, ou programmés par vos propres soins. Une fois que la bataille est lancée les tanks (ou les bots si vous préférez) s’affrontent automatiquement, jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un. Outre le combat pur et dur, l’intérêt de Robocode réside dans l’étude du comportement des différentes machines (cadence de tir, mouvement des tourelles, vitesse de déplacement, trajectoires, etc), que vous allez pouvoir améliorer à l’aide d’un éditeur/compilateur intégré et de quelques connaissances en Java. En gros si vous voulez améliorer ou mettre en pratique les connaissances que vous avez dans ce langage et tâter de l’intelligence artificielle, ce jeu est un bon moyen de le faire.

Sur la capture ci dessous vous pouvez voir la fenêtre qui va vous permettre de sélectionner vos robots afin de préparer votre bataille. Vous pouvez sélectionner le nombre d’unités que vous souhaitez voir évoluer et l’onglet Rules va vous permettre de choisir le nombre de rounds et la taille de la map.

Ici vous pouvez voir les infos relatives à un des bots évoluant sur la map et s’il le faut vous pouvez même le killer afin de le retirer de la bataille.

Une fois la partie terminée vous pourrez analyser les statistiques globales, qui seront sans doute très instructives pour vous permettre d’affiner le comportement de vos machines et de les rendre plus performantes (intelligentes).

Sur cette dernière capture vous pouvez voir à quoi ressemble l’éditeur de Bot, qui vous sera indispensables pour créer vos machines.

Comme vous l’avez compris Robocode n’est pas qu’un simple jeu, mais une suite éducative complète, qui va vous permettre de programmer (ou de vous apprendre à le faire) tout en vous amusant.

Si vous avez envie d’en savoir un peu plus sur la bête, vous pouvez visiter le site du projet ou écumer le Wiki pour vous inspirer et dégoter des fonctions. Pour le téléchargement c’est sur cette page que ça se passe.

Si vous tournez sur Ubuntu vous pouvez installer Robocode en procédant de la sorte. Ouvrez un terminal et commencez par installer les paquets suivants (Oracle Java JDK) :

sudo apt-get purge openjdk*
sudo add-apt-repository ppa:webupd8team/java
sudo apt-get update
sudo apt-get install oracle-java7-installer


Une fois que c’est fait entrez ceci dans votre Shell :

wget http://skylink.dl.sourceforge.net/pr….2.4-setup.jar
java -jar robocode-1.9.2.4-setup.jar
cd robocode/
./robocode.sh

Si vous tournez sous Arch Linux et Manjaro c’est via AUR que ça se passe, à l’aide de cette simple commande :

yaourt -S robocode

la vache folle

Duplicati – Un outil de sauvegarde pour GNU/Linux, Mac OS X et MS Windows


Duplicati, un outil assez intéressant conçu dans le but de vous permettre d’effectuer des sauvegardes fichiers/système/applications sous GNU/Linux, Windows et Mac OS X. Si ça vous tente nous allons voir vite fait à quoi ça ressemble et comment ça marche.

Au niveau des fonctions Dupliacti permet entre autres de renforcer la sécurité de vos sauvegardes à l’aide d’un mot de passe, du chiffrement AES-256 et de GNU Privacy Guard. Ce dernier permet de signer les sauvegardes afin de garantir leur authenticité. Celles-ci peuvent être exécutées et stockées en local ou à distance, grâce à la prise en charge de divers protocoles (WebDAV, FTP, SSH) et de services en ligne tels qu’Amazon S3, Google Docs, Windows Live, Rackspace, ou encore Cloufiles.

Pour les reste Duplicati possède un grand nombre de paramètres complémentaires vous permettant entre autres :

de planifier l’exécution de sauvegardes incrémentielles
de supprimer automatiquement d’anciennes sauvegardes pour économiser de l’espace disque
de spécifier la vitesse de sauvegarde et la priorité du processus
d’utiliser différents filtres afin d’exclure certains fichiers
d’effectuer des sauvegardes à partir de différentes sessions (comptes utilisateurs)

et tout un tas d’autres trucs vraiment intéressants…

Usage :

Comme vous avez pu le voir sur l’image d’illustration, le menu d’accueil dispose de 3 éléments.

Le premier va vous permettre de configurer une nouvelle tâche de sauvegarde, dont les paramètres pourront servir à toutes les autres.
Le second va vous servir à restaurer une sauvegarde déjà existante.
Et le troisième peut vous servir à récupérer les paramètres de Duplicati. Ce dernier peut être très utile en cas de réinstallation.

Nous allons nous intéresser maintenant à la création d’une nouvelle tâche et à la première étape qui va consister à lui donner un nom. L’image est assez parlante et je pense qu’il n’est pas nécessaire d’en dire beaucoup plus :



Une fois que vous avez donné un nom à votre nouvelle tâche, vous allez devoir sélectionner les éléments à sauvegarder. Vous pouvez choisir entre différents types de fichiers et cibler les répertoires de votre choix :

Après avoir choisi les éléments à sauvegarder vous aurez accès au menu vous permettant de choisir un mot de passe et la méthode de chiffrement que vous souhaitez utiliser :

Il y a bien entendu une confirmation.

Choisissez ensuite l’emplacement de votre sauvegarde :

Si vous souhaitez conserver votre sauvegarde en local, sélectionnez l’option « Basé sur des fichiers » et indiquez le répertoire contenant via l’explorateur :

Vous pourrez ensuite configurer une série d’options annexes et spécifier entre autres la fréquence d’exécution, les délais de suppression, les limitations de taille et de transfert, les filtres et d’autres options plus techniques via la configuration manuelle.

Si vous paramétrez une tâche récurrente, vous aurez tout ce qu’il vous faut pour planifier ça à l’heure et au jour près.



Une fois que tout est ok vous avez le droit à un dernier résumé et si tout vous convient il ne vous restera plus qu’à cliquer sur « Fin », en n’oubliant pas de cocher la case « Exécuter » si vous souhaitez que la sauvegarde se lance immédiatement.

Une fois la sauvegarde effectuée vous pouvez retrouver les archives dans le répertoire indiqué :

et celle-ci apparaît dans la liste du programme. Vous pourrez dès lors effectuer une restauration en sélectionnant la sauvegarde dans la liste et via un simple clic droit.



Comme vous avez pu le constater Duplicati est une application assez complète et bien que son interface soit relativement basique, celle-ci s’avère être très puissante. Pour ne rien gâcher c’est super simple à utiliser, c’est Libre (GPL), ça tourne sur les principales distributions GNU/Linux et sur les OS proprios.

Si vous avez envie d’en savoir un peu plus et de l’installer,il suffit de vous rendre sur >>>le site<<<

Si vous tournez sur Arch Linux et Manjaro vous pouvez aussi passer par AUR à l’aide de la commande suivante :

yaourt -S duplicati

la vache folle

GSmartControl – Vérifiez l’état de vos disques durs sous GNU/Linux, BSD, MS Windows et OS X


Il s’agit d’un GUI pour Smartmontools, qui va vous permettre de connaître l’état de vos disques durs et au besoin d’effectuer différents tests. Vous aurez le choix entre un test rapide ayant pour but de rechercher les problèmes les plus courants, ou un test plus complet, qui va tenter d’analyser tous les secteurs de votre disque. Le test étendu peut prendre plusieurs heures, mais bien entendu le diagnostique n’en sera que plus complet.

Comme vous avez pu le voir sur l’image d’illustration, l’interface de GSmartControl est assez simpliste et affiche dès le lancement les différents supports présents sur votre PC. Vous pouvez dès lors en sélectionner un et avoir accès à une foule d’informations le concernant (nom, capacité, nombre de secteurs, firmware etc) via les différents onglets.



Le dernier onglet est tout spécialement intéressant, dans la mesure où c’est celui qui va permettre de lancer les tests. Après avoir sélectionné le type de test souhaité et après l’avoir lancé, la barre de progression nous indique une estimation de durée et l’état d’avancement de la tâche en cours :

Une fois les test achevé vous pouvez consulter le résultat depuis l’application, ou l’enregistrer dans un fichier .txt pour le consulter ultérieurement.

C’est simple, efficace, mais comme pour tous les softs de ce type, l’interprétation des résultats dépendra en partie de vos connaissances. Ce n’est pas toujours facile pour un débutant de faire le tri dans tout ça. Ceci étant dit il est toujours intéressant d’avoir ce genre d’outil sous la patte, d’autant plus qu’il est disponible sur presque toutes les distributions GNU/Linux, BSD, MSWindows et Mac OS X.

Si ça vous tente vous pouvez en savoir plus sur GSmartControl >>>sur la page du projet<<<

Si vous souhaitez l’installer vous pouvez vous rendre >>>ICI<<< où vous trouverez les binaires et les instructions d’installation pour les différentes distributions GNU/Linux.

Si vous tournez sur Arc Linux et Manjaro, il suffit d’entrer la ligne de commande suivante dans un terminal :

sudo pacman -S community/gsmartcontrol

la vache folle

JSignPdf – Un outil pour protéger vos documents PDF sous GNU/Linux, Windows et Mac OS X


Si vous utilisez assez souvent le format PDF pour créer vos documents et que ceux-ci contiennent des données sensibles, les protéger (ou en protéger le contenu) peut s’avérer essentiel. Il existe pas mal de méthodes vous permettant des les mettre à l’abri et à titre personnel par exemple, je ne jure que par un simple fichier compressé en 7-Zip, affublé d’un mot de passe solide. Si cette méthode simple et très efficace, elle ne vous servira cependant qu’à protéger le fichier d’un accès non autorisé. C’est déjà pas mal, mais aurez peut-être besoin d’aller encore plus loin et de protéger spécifiquement le contenu de vos fichiers PDF en y appliquant certaines restrictions. JSignPdf est une application open source et multiplateforme que je ne connaissais pas encore, qui a l’air vraiment pas mal pour effectuer ce type de tâche. Concrètement et en quelques mots celle-ci va vous permettre d’apposer des signatures digitales à vos fichiers et d’utiliser différents types certificats protégés par mot de passe. Elle embarque également un système de contrôle de révocation des certificats, le support de la ligne de commande et diverses options vous permettant de définir les autorisations liées à vos fichiers (lecture, modification, ajout, impression, etc).

Sur la capture ci-dessous vous pouvez voir la fenêtre à partir de laquelle il va vous être possible de sélectionner les autorisations liées à vos fichiers et comme vous pouvez le constater ce n’est pas bien compliqué. Il suffit de cocher les cases qui vous intéressent.

Ici vous pouvez voir que les types de chiffrements proposés sont assez variés (SHA1, 256, 384, 512, RIPEMD 160) et pour certains assez costauds.

Et vous pouvez voir ci-dessous qu’il est possible de sélectionner plusieurs niveaux de certifications.

Si ça vous tente et que vous avez envie d’en savoir plus sur JSignPdf, vous pouvez faire un tour >>>sur le site du projet<<<

Si vous tournez sous GNU/Linux et pour peu que Java soit présent sur votre système, vous pouvez installer et lancer JSignPdf à l’aide des commandes suivantes.

wget -c ufpr.dl.sourceforge.net/project/jsignpdf/stable/JSignPdf%201.6.1/JSignPdf-1.6.1.zip
unzip JSignPdf-1.6.1.zip
cd jsignpdf-1.6.1/
java -jar JSignPdf.jar

la vache folle